mardi 29 octobre 2013

DEUX POIDS, DEUX MESURES ?





L'écrivain algérien Boualem Sansal ne croit pas en la démocratie dans le monde arabo-musulman :


L'article est du Vif, qu'on ne peut pas soupçonner de rapprochement avec l'extrême doite, ni de tentative de manipulation. Le Vif en Belgique ressemble un peu au Nel Obs en France.

D'où mon commentaire à cette info, si peu relayée hélas :

Si c'était un péquenot d'ici qui avait sorti ça, on aurait déjà eu droit à la levée des boucliers de SOS racisme, MRAX, Haut comité des droits de l'homme de l'ONU,...et autres pantins de la bien pensance qui semblent n'avoir pour objectif que de faire pencher le monde vers l'extrême droite...
Sans doute pour déclencher une nouvelle guerre mondiale afin de limiter la surpopulation...
Après, quand le sale boulot aura été fait, les politicards viendront bêler "Plus jamais ça !!!",...
 comme on l'entendra encore ce 11 novembre...


dimanche 27 octobre 2013

PLANTE UN ARBRE...




Planter un arbre, pour faire renaître la vie.

C'était le voeu de Jean Giono et Philippe Noiret :

http://www.pinetum.org/GionoFR.htm

Hélas, même au Brésil, où il faut préparer coupe du monde + JO, la présidente Dilma Rousseff, pourtant de gauche, n' a pas les moyens de lutter contre la déforestation sauvage de l'Amazonie :




A dégoûter de la politique...


vendredi 25 octobre 2013

QATAR : RETOUR DE L'ESCLAVAGE, OU DES CAMPS DE CONCENTRATION ?

Comme on sait, après avoir acheté une coupe du monde, l'émir du Qatar au acheté aussi le PSG, et autres bricoles que j'ai oubliées...

Mais comment ça va donc chez ce "bon" émir ?

Pas brillant, selon certains articles (que la bien pensance jugera sans doute mal intentionnés, pourris d'amalgammes, peut-être racistes,...)

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Article 1 :

Le texte : 

Football : la Coupe du monde au Qatar confirmée malgré les soupçons d'esclavage

Le président de la fédération internationale  a précisé que "la Fifa ne peut pas faire d'ingérence dans le droit du travail", et ce malgré la mort de 44 ouvriers népalais sur des chantiers
 Joseph Blatter, le président de la Fédération internationale de football a été clair ce vendredi : "la Coupe du monde 2022 se jouera bien au Qatar". Et ce en dépit des polémiques.
Alors Sepp Blatter est préoccupé. Soucieux de ménager les intérêts économiques et l'image de son organisation, il ne sait trop sur quel pied danser. "La Fifa ne peut pas faire d'ingérence dans le droit du travail d'un pays mais ne peut l'ignorer", a-t-il déclaré vendredi sur Twitter.

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Art 2 :


Texte : 

Mondial 2022: une délégation syndicale internationale interdite de chantier au Qatar

L'Expansion.com avec AFP - publié le 09/10/2013 à 18:28

Les autorités qataris ont refusé l'accès à un chantier du Mondial-2022 à la délégation syndicale internationale qui enquête sur les soupçons d'esclavage. 44 travailleurs népalais seraient morts selon The Guardian.

 Le Qatar, récemment accusé par The Guardian d'esclavage sur les chantiers de la coupe du monde de football 2022, vient de refuser l'accès, mercredi 9 octobre, à une délégation syndicale internationale à l'un de ces sites près de Doha (Qatar).
La délégation, enquête sur les soupçons d'esclavage et les conditions des travailleurs immigrés dans le pays hôte du Mondial-2022.

Des visites inopinées bloquées par les autorités

"Je ne peux pas vous autoriser à visiter ce site sans coordination préalable", a déclaré un responsable du chantier à la délégation qui voulait effectuer "une visite inopinée" sur le chantier qui relève d'une co-entreprise de bâtiment des groupes français Vinci et qatari Diyar.
En réaction, les syndicalistes ont renoncé à une visite, prévue à leur programme, de l'immense chantier de Lusail (Qatar), à 70 km au nord de Doha, qui doit abriter le principal stade du Mondial-2022.
Ces visites programmées ne servent qu'à "montrer ce qu'il y a de mieux" au Qatar, a déclaré à l'AFP un membre de la délégation, Ampet Yuson.
Les syndicalistes se sont ensuite rendus au siège du Comité organisateur du Mondial à Doha où, faute de rendez-vous préalable en bonne et due forme, ils n'ont pu obtenir d'audience avec un responsable du comité. Ils ont protesté devant les locaux en chantant: "FIFA, carton rouge". Après de multiples tractations, un responsable du Comité, Hassen Dhawadi, devrait les recevoir en soirée.

La délégation doit quitter le pays jeudi avant de rendre un rapport sur la situation

Le président du Comité national qatari des droits de l'Homme, qui relève du ministère de l'Intérieur, Ali al-Merri, a émis des doutes sur l'objectif de la mission, dont il assure pourtant l'organisation. "L'amélioration des conditions des travailleurs n'est pas leur objectif véritable", a-t-il déclaré à l'AFP. "Nous leur avons pris des rendez-vous (...) mais ils veulent voir n'importe quel responsable à n'importe quel moment", a-t-il accusé.
Un sous-secrétaire d'Etat au ministère du travail, Hussein al-Mollah, a expliqué à la délégation que les entreprises au Qatar respectaient "à 99% le code du travail" local. "Nous intervenons lorsque le travailleur présente une plainte", a-t-il déclaré.

Une réalité sans doute bien différente

"Si je me plains auprès des autorités qataries, mon employeur me renvoie dans mon pays", assurait mardi un ouvrier indien, arrivé il y a quatre mois au Qatar où il travaille pour un sous-traitant local.
Le Comité des droits de l'Homme a de son côté admis certains abus, mais rejeté les accusations d'esclavagisme du quotidien britannique, The Guardian, qui faisait état de la mort de 44 ouvriers népalais sur ces chantiers.
Le ministre du Travail Ali Ahmad Al-Khalifi a promis pour sa part de doubler le nombre d'inspecteurs du travail sur les chantiers à 150.

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Art 3 :


Texte : 

QATAR Au royaume de l'esclavage moderne


Domestique, ouvrier qualifié ou homme d'affaires : il n'est pas facile d'être un immigré au Qatar où les conditions de travail sont souvent inhumaines.
En 2012, Theresa M. Dantes a signé un contrat avec une agence de recrutement des Philippines pour venir travailler au Qatar comme domestique. Elle devait être logée, nourrie et payée 400 dollars [305 euros] par mois. Pourtant, lorsqu'elle est arrivée, son employeur l'a informée qu'il ne lui verserait que 250 dollars [190 euros]. Elle a accepté car sa famille, restée à Quezon City, comptait sur ce salaire. 
Cependant, la jeune femme n'était pas au bout de ses surprises. Theresa Dantes, 29 ans, affirme qu'elle ne prenait qu'un repas par jour, composé des restes du déjeuner familial. "S'il ne restait rien, alors je ne mangeais pas." Elle travaillait sept jours par semaine. Une fois son labeur terminé dans la maison de son employeur, on la forçait à nettoyer celle de sa belle-mère puis celle de sa sœur. Huit mois après son arrivée, Theresa Dantes a voulu partir. Son patron lui a ri au nez : "Tu ne peux pas démissionner !"
Dans le cadre de la kafala, système qui régit la vie de tous les étrangers qui travaillent au Qatar, Theresa Dantes ne pouvait pas quitter son poste sans l'accord de son employeur. Elle s'est enfuie et a rejoint 56 autres femmes qui avaient trouvé refuge au Bureau philippin du travail à l'étranger.
Environ 1,2 million de travailleurs étrangers - qui sont en majorité des personnes pauvres originaires d'Inde, du Pakistan, du Bangladesh, du Népal, d'Indonésie et des Philippines - représentent 94 % de la main d'œuvre au Qatar, une monarchie absolue qui fait à peu près la taille de l'Île-de-France.
 Ce dispositif, mis en place dans les années 1950, a été conçu pour les Etats peu peuplés du Golfe qui avaient besoin d'ouvriers dans les secteurs du pétrole et du gaz. Le système s'est tellement développé qu'aujourd'hui, il y a presque cinq fois plus d'employés étrangers que de Qataris. Jusqu'à un million de personnes supplémentaires pourraient arriver au cours des prochaines années pour participer à la construction de neuf stades et de nouvelles routes (pour un budget de 20 milliards de dollars; 15,23 milliards d'euros), afin que le Qatar soit prêt à accueillir la Coupe du Monde de football en 2022.
Un document officiel n'offre pas une protection suffisante
Un grand nombre de ces personnes travailleront dans des conditions dignes du Moyen Age, que l'ONG Human Rights Watch a déjà comparées au "travail forcé". Les patrons qataris sont responsables juridiquement de leurs employés, en plus de leur assurer un poste rémunéré, un visa de travail, un logement et souvent de la nourriture. En échange, chaque travailleur s'engage auprès de son employeur pour une durée déterminée. 
En revanche, un employé de peut pas changer de travail, quitter le pays, obtenir un permis de conduire, louer un logement ou ouvrir un compte en banque sans l'autorisation de son sponsor, dit kafil, qui peut de son côté mettre fin à son parrainage quasiment à tout moment et renvoyer la personne dans son pays d'origine.  
Et les victimes ne sont pas uniquement des domestiques et des ouvriers peu qualifiés : Nasser Beydoun, un homme d'affaires arabo-américain, affirme qu'il a été "otage économique" à Doha pendant 685 jours avant d'être libéré en octobre 2011. Après qu'il a démissionné du poste de gérant d'une chaîne locale de restaurants, son ancien employeur a refusé de lui accorder un permis pour quitter le Qatar.  "Les travailleurs étrangers sont les esclaves modernes de leurs patrons qataris, explique Nasser Beydoun, qui vit désormais à Détroit, aux Etats-Unis. Ils sont leur propriété." 
Seule une moitié des ouvriers étrangers signent un véritable contrat de travail avant de venir dans l'émirat, selon un sondage réalisé par l'institut de recherche économique et sociale de l'université du Qatar. Les autres se contentent de conclure un accord verbal.
Toutefois, même signer un document officiel n'offre pas une protection suffisante. Selon le même sondage, 25 % des ouvriers qui avaient signé des contrats ont révélé que leurs employeurs n'avaient pas respecté les clauses associées. Ce chiffre atteignait 42 % chez un tiers des personnes dont le salaire mensuel était inférieur à 275 dollars [209 euros].
En moyenne, un foyer qatari emploie trois personnes
Suite aux pressions exercées par les défenseurs des droits de l'homme et du droit du travail, le gouvernement a promis la mise en place de nouvelles garanties. "Il y a sept ou huit ans, nous n'avions aucune législation du travail, explique Hussein Al Mulla, sous-secrétaire d'Etat au Travail. Cette branche du droit a été améliorée et elle continuera d'être perfectionnée avec le temps." 
Le ministère a créé une ligne téléphonique pour que les employés puissent dénoncer les abus anonymement et a mis en place un système visant à arbitrer les litiges dans ce domaine. Désormais, les patrons doivent déclarer les salaires au ministère du Travail et le pays finalise actuellement des normes professionnelles en matière de santé et de sécurité, ainsi qu'une charte énonçant les droits des travailleurs. 
Néanmoins, adopter de nouvelles lois ne suffit pas. "Le véritable défi est l'application de ces textes et la transition vers une nouvelle culture du travail," souligne Andrew Gardner, un anthropologue à l'université de Puget Sound qui s'est penché sur le cas des travailleurs dans la région du Golfe. L'ampleur du problème est phénoménale et le nombre d'étrangers augmente extrêmement rapidement."
Au Qatar, un pays où il n'y a pas de revenu minimum légal, les travailleurs étrangers ont très peu de recours s'il s'avère que leur salaire est inférieur à ce qu'ils attendaient. Par ailleurs, les frais exorbitants des agences de recrutement n'encouragent aucunement les patrons à libérer leurs employés de leurs obligations.
En moyenne, un foyer qatari emploie trois personnes. Environ 95 % des familles ont une domestique et plus de 50 % en ont au moins deux. Un sondage réalisé récemment par l'institut de recherche a révélé que près de 90 % des Qataris ne souhaitent pas que la kafala soit assouplie, et 30 % des personnes interrogées ont même déclaré qu'elles souhaitaient un renforcement des droits de l'employeur.


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Bon...(je devrais plutôt écrire "mauvais" !), tout cela est-il vraiment vrai, et l'émirat arrogant parce que richissime est-il vraiment devenu un camp de concentration pour esclaves immigrés ? Ce n'est pas moi qui vais faire l'enquête de vérification des sources. Mais il me semble que ç'aurait été une mission pour l'ONU, comité des Droits de l'Homme,...

C'est en effet une question que les fantoches de l'ONU auraient dû se poser de puis des mois, au lieu de tenter de cacher cette "merde au chat" en axant maintenant  l'action de leur comité des droits de l'hommes sur le fait de savoir si le Père Fouettard (Zwarte Piet en Hollande) est un symbole raciste ou non !

Conclusion : une tradition, qui ne fait de mal à personne mais qui amuse les enfants, est peut-être raciste. Mais le comportement d'un émir et de ses sbires qui considéreraient les immigrés comme leurs esclaves serait humaniste.

L'ONU : devenue donc aussi méprisable que bien des politicards serviles.


lundi 21 octobre 2013

CASSIOPée



La constellation de Cassiopée, bien visible actuellement quand il n'y a pas trop de nuages, dessine un immense W dans l'hémisphère boréal.

C'est là que Maurice Chatelain, ex-NASA, ufologue et écrivain, situe la "Cour de Dana".
Dana est une déesse celtique, mais Cassiopée fut une reine grecque peut-être un peu imaginaire mais surtout très présomptueuse...

Bref, dans son ouvrage "A la recherche de nos ancêtres cosmiques", Maurice Chatelain, qui a, je le rappelle, travaillé avec la NASA, situe là-bas le berceau de nos "ancêtres cosmiques". Quelque part  dans l'immensité de cette constellation Cassiopée. D'où ils seraient partis pour atterrir ici...

Pourquoi des gens venus de si loin ( 2O années lumière ou plus) auraient-ils choisi la Terre ? Comment auraient-ils effectué ce voyage de 20 fois 10 000 milliards de kilomètres ?

Et quel serait le rapport éventuel entre Dana et Cassiopée ? (Voire entre l' Antiquité grecque et l'Atlantide ?).

Questions intéressantes, qui mériteraient enquête approfondie.
Voilà d'ailleurs le genre d'enquête qui pourrait nous changer les idées...


vendredi 18 octobre 2013

RÊVE





Quand on se promène dans un rêve
On peut rencontrer des orchidées
Qui se lèvent
En fleurs de conifères

Un peu comme
Les coquelicots du Kentucky
Qui n'existent pas ici

mercredi 16 octobre 2013

HALAL

Halal. Mode d'abattage inutilement cruel. Surtout depuis qu'on a inventé l'étourdissement électrique.
Néanmoins, bien que logiquement interdit dans l'UE, reste permis pour des abattages "rituels".

Ce genre de "rite" me hérisse. Il s'agit, pour les obscurantistes qui le pratiquent, de commémorer le "sacrifice" d'Abraham.

Abraham...Un mec qui semblerait dater d'une époque ...où il n'y avait pas encore d'humain sur terre. (D'où peut-être le côté inhumain de la manière de le célébrer ?).
Un mec qui causait à un dieu sanguinaire, pour lequel il aurait accepté d'égorger son fils...

Abraham, l'abruti endoctriné (par qui ???) qu'on nous met en évidence dans Ancien testament, Coran et Torah !

Si j'avais été à la place de ce polichinelle, j'aurais répondu au dieu qui m'ordonnait d'égorger mon fils :

"Je t'emmerde, et si t'es pas content, descends ici, homme à homme, face à face, et je te plante"

Mais, faut commémorer, pour certains...

Gaïa a mené une campagne contre cet égorgement sauvage et sauvagement admis. A noter qu'il y a de la barbarie ailleurs que dans le halal, mais Gaïa a dénoncé certains marchés aux bestiaux, les élevages intensifs, les chevaux torturés entre Argentine et Europe, le foie gras, la tauromachie,...

Suite à son appel contre le halal, Gaïa a été accusée de faire l'amalgame entre moutons égorgés et déportés !
Par un pseudo journaliste à la recherche d'une petite bête sensationnaliste.
(Pour plus de renseignements : voir Wikipedia, Google,...sur ce sujet).
Et la potiche Fadila Laanan, qui fut en Belgique ministre de la culture (?) et qui est aujourd'hui ministre de l'audiovisuel a foncé dans le panneau : elle demande au "centre pour l'égalité des chances" s'il ne faut pas poursuivre Gaïa !

Les élucubrations de Laanan ont été diffusées sur Le Vif :

http://www.levif.be/info/actualite/belgique/abattage-rituel-laanan-demande-un-avis-sur-la-campagne-publicitaire-menee-par-gaia/article-4000425319004.htm?nb-handled=true&utm_medium=Email&utm_source=Newsletter-16/10/2013

                                       , et voilà ma réponse à cet article :

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Dans l'argumentaire de Laanan, on lit :

"Tant M. Istasse que Mme De Groote ont fustigé mercredi la campagne de l'ONG, accusée de faire l'amalgame entre l'abattage des animaux et la Shoah et de stigmatiser la communauté musulmane..."

Relisez le txt de Gaïa. Il n'y a PAS d' amalgamme, sauf pour le journaliste qui a publié un article stupide, de mauvaise foi, tendancieux et abject, et pour deux députés qui essaient de  soigner leur électorat.

Laanan demande l'avis du "centre pour l'égalité des chances"...Egalité des chances...Ce mouvement est-il parti en croisade contre les négriers de la construction ?
Pas à ma connaissance, et pas plus SOS Racisme, MRAX ou autres guignols.
Pourtant, il y a du boulot : le Portugais, le Turc et le Brésilien sont exploités en Belgique :


Comme (plus récemment dénoncé sur Lyon Capitale), les maçons portugais en région lyonnaise, et aussi bordelaise.

Pour moi, payer un Portugais, Turc, Brésilien ou Polonais 5 fois moins qu'un belge ou un français, c'est du racisme. Or, dans ces cas (mais danger, s'agit d'une mafia qui a déjà tué (remember Stéphane Steinier...), on n'entend ni la ministre-potiche, ni les confréries de guignols.

Donc : l'appel de Laanan au "centre pour..." est débectant.
Comme les rodomontades de ces associations dont on dirait qu'elles sont téléguidées par un objectif : amener le + de voix possible pour les extrêmes. Pour (à cause de la surpopulation ?) provoquer une nouvelle "bonne" guerre, et puis, quand le sale travail aura été effectué,  venir bêler hypocritement "Plus jamais ça" ?




dimanche 13 octobre 2013

DES FLEURS...

...avec un papillon, la fleur qui vole, a dit Nerval.



Aujourd'hui c'est l'automne

Et les fleurs se fanent

Les papillons aussi


Automne du monde

Terre fanée

Filaments d'un phare

Sans espoir