dimanche 19 février 2012

FINANCE (SUITE)...







Lu sur une édition du Figaro en ligne :



http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/02/19/97002-20120219FILWWW00060-royal-veut-faire-obeir-les-banques.php


Résumé de l'essentiel de cet article : on y rappelle que Ségolène reste fidèle à sa volonté de mettre la finance au service de l'humain, et pas le contraire !



Commentaire de IKER sur ce sujet :-
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IKER
-La dernière fois que le PS s'est occupé du Milieu de la Banque, cela s'est terminé par une catastrophe appelée "Crédit Lyonnais" et les contribuables en ont payé le prix.
Mme ROYAL met est en cause les banques, (on comprend les Banques Françaises), mais le Mur de l'Argent est formé essentiellement des Préteurs qui comblent les déficits de la France… »
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Ma réponse à Iker :

@ Iker,

Tu parles de "prêteurs qui comblent le deficit..."

N'oublie jamais que ces prêteurs (privés) ne prêtent que de la monnaie scripturale, çàd des sommes qui n'existent pas dans leurs caisses, càd de l'argent virtuel, qui n'existe pas, de la "monnaie de singe".
Mais l'emprunteur rembourse, en capital + intérêts ce qui souvent double la mise, de l'argent qui existe : le fruit de son travail pour un privé, la richesse nationale pour un Etat.

Au départ, ces banques privées qui vampirisent maintenant un monde groggy, avaient le droit de prêter 3 fois leur disponibilités (fonds propres+dépôts). C'est passé à sept fois, et aujourd'hui, on n'est pas loin de vingt ! Système emballé, folie virtuelle, bulles qui explosent l'une après l'autre,,..., et ce sont les con tribuables et con sommateurs qui paient la note. Loi des vases communicants : ce que les crapules de la "haute" finance (Goldman Sachs, avec la bénédiction de sa filiale Standard and Poor's, et autres parasites) volent à la populace ne sera pas perdu pour tout le monde : les privilégiés continuent à se vautrer sous le soleil des paradis fiscaux.

Des dettes d'Etats aussi abyssales n'ont été possibles qu'à cause de la loi Giscard-Pompidou de 1973, qui a ensuite été perversement étendue à l'Europe : les banques, nationales d'abord, la BCE ensuite, n'a (ont) plus le droit de prêter à un Etat. Ce serait concurrence déloyale ! Donc, la BCE (dirigée aujourd'hui par un ancien de Goldman Sachs...) ne sert plus qu'à alimenter à fonds perdus les banques privées qui ont perdu au casino de la bourse trop des dépôts de leurs clients naïfs. Il est temps de réguler, parce que quand les gens auront tout perdu, ils n'auront plus rien à perdre.
Et, historiquement, c'est quand le peuple n'a plus rien à perdre que le sang des tyrans coule dans les caniveaux.
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J'ai souvent abordé ce sujet. Qui est l'un des drames de cette époque, sur lequel il faut continuer d'insister.

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