DIMANCHE 14 JANVIER, ENCORE 99 JOURS

SEGOLENE PENSE A VOUS :

Vous êtes étonnés de découvrir, au lieu de la pensée du jour "le myosotis et puis la rose..."

Deux raisons à cette fantaisie : il y a tant de fleurs que je n'éditerai pas que des pensées, puis, comme je parlais hier de "pouvoir d'achat" (sujet essentiel mais matérialiste), je vais faire un peu plus dans le poétique aujourd'hui, et l'image ci-jointe se veut un hommage à Mouloudji...

Mais revenons à Ségolène, qui proclamait le 2 juin dernier:

"La Gauche, c'est créer et garantir les conditions nécessaires pour que chacun ait, à égalité, les moyens et la possibilité d'assumer ses responsabilités et de construire librement sa vie"

Citation extraite du texte "La culture à l'école", disponible sur son site DA (lien à droite) dans la rubrique "Ce que j'ai dit sur..."

Pourquoi cette importance de la culture à l'école ?

Dans l'intelligent objectif de réconcilier les lycéens et l'enseignement. Car les jeunes sont demandeurs : ils sont emballés surtout par les animations musique et théâtre, à tel point que Ségolène a réussi à installer des animateurs culturels dans les écoles de sa région Poitou-Charentes !

L'immense intérêt de cette action : les jeunes (puissions-nous leur léguer demain un monde plus propre que ce qu'il est aujourd'hui...mais c'est un autre débat : l'excellence environnementale que j'aborderai un de ces jours sur ce blog), les jeunes, donc, redeviennent MOTIVES à l'école, çàd à la formation qui les conduira à une profession ; en plus, avec le "culturel" (parfois considéré comme "intello", mais ici, s'agit de musique et théâtre...en attendant d'autres demandes), LES JEUNES AURONT APPRIS A ETRE CREATIFS. Mathématiquement, s'ils aiment créer, ils n'auront plus besoin de détruire...

Et c'est ainsi que le problème des banlieues (que j'aborderai aussi, il me reste 98 jours...Non, pas de quinzaine de rabiot ni de deuxième tour, comme j'entends murmurer là-bas à droite!), c'est ainsi donc que les problèmes de violence gratuite, dûe quelquefois à une désespérance indéfinissable, vont se régler tout seuls...

Pas besoin de karcher dans les banlieues ou ailleurs, monsieur N.S.

D'ailleurs, le karcher, à l'époque des économies d'énergie et d'eau (penchez-vous sur nos nappes aquifères), ce n'est pas une solution à long terme !