mercredi 27 novembre 2013

DES TRADERS VOLERAIENT MÊME...NOS MERDES !!!




Lu cette abomination :

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Extrait révoltant et inacceptable :


-La fuite de « nos » déchets


Les déchets produits sur le sol wallon deviennent une matière noble. Le constat est amer, la Wallonie n’est même plus en mesure de valoriser ses déchets car ils sont exportés. «La guerre pour obtenir des intrants est désormais lancée. Le coût d’approvisionnement a augmenté en moyenne de 30 €/MWh. Des traders spécialisés en déchets agroalimentaires occupent désormais le marché pour fournir les pays limitrophes qui ont les moyens financiers d’acheter de telles marchandises. Notre production de ‘déchets’organiques est en train de produire de l’énergie dans d’autres régions.»

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Ma réaction, envoyée à Paul Magnette, Président du PS de Belgique francophone :


----Ma conclusion :

Si cette fuite de nos de nos « déchets » est imposée par l’Europe, il faut mettre cette Europe au pas ou  à la poubelle. Si ça vient de la mondialisation, il faut en revenir à un protectionnisme radical.

Et il est grand temps : les élections (européennes et autres) arrivent à grands pas !

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On lit en effet dans cet article :

"... Des traders spécialisés en déchets agroalimentaires occupent désormais le marché pour fournir les pays limitrophes qui ont les moyens financiers..."

On est, pour cause de crise, en guerre économique. Que des traders dirigent ce monde en dérive me débecte : il faut les éradiquer par n'importe quels moyens. Pendant les guerres (économique ou autre), il y a des lois martiales !

Les traders sont tombés amoureux de nos déchets : qu'ils viennent  donc nettoyer nos fosses d'aisance, ça leur apprendra à vivre.

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J'ajoute cette dernière réflexion :

s'ils adorent tant nos déchets, qu'ils viennent donc nettoyer nos fosses septiques en les léchant.  

Je ne dis ça ni par sadisme, ni par esprit de vengeance, je voudrais que ces types montrent une sincérité humaniste et sociale à leurs objectifs.
Mais je suis sceptique quant à leur participation au genre d'exercice que je leur propose, car je crois que pour ces merdes (dans le contexte du texte, le vocable "merdes", bien que relativement injurieux, est dans la tonalité.), y'a que trois choses qui comptent : le fric, le fric, le fric.

Si on n'y prend garde,...

... bientôt, noyer un trader dans sa fosse septique

 sera oeuvre de salut public... 



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