lundi 25 février 2008

IL ETAIT UNE FOIS...





C'était il y a longtemps, dans un pays relativement lointain, je ne sais même plus s'il s'appelait Borsalinie ou Berluscon'rie ?

Il y avait là un président très courageux, qui avait promis, à l'occasion des élections municipales, de passer dans toutes les villes et villages pour inciter la populace à voter pour le candidat de son parti.
Mais, comme ce président était aussi très maladroit, voilà qu'il se met à chuter -mais alors vertigineusement- dans les sondages.
Pour les candidats de son parti, il en devenait encombrant.

Et la rupture qui devait arriver arriva. Notre président arrive ( à vélo, parce qu'il fallait déjà économiser l'essence en ces temps là. En plus, sa ministre de l'emploi avait reconverti une usine aéronautique en fabrique de vélos ) dans une grande ville, qui s'appelait Chicadallas, je crois.

Et là, aux portes de la Ville, le candidat de son parti, qui était "maire sortant",... et qui voulait tout faire pour rentrer, le remballe durement en lui disant, devant tout le monde (Il y avait la TV, les photographes,...) : " Casse-toi, pauvre con".

Chez nous, c'est vrai que les temps sont durs, que les caisses sont vides,...mais de tels dérapages sont impensables: la France, "fille aînée de l' Eglise" (Quelle église ? On sait pas encore, ou on sait plus tout à fait) est un Etat policier !

Heureusement que je relis mes textes : je voulais dire " Etat policé, civilisé, quoi...".
J'espère que tout le monde avait rectifié ?

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