jeudi 27 mars 2008

IL PLEUT.




Il convient donc de parler de la pluie

Après la pluie viendra le bottin

Le bottin : ce grand livre avec tant de personnages et si peu d'action,
Ou le bottin mondain, où il se passe toujours quelque chose qui nous intéeresse si peu ?

La pluie, c'est comme la politique, çà donne le cafard.

Si Ségolène avait gagné, on aurait pu parler de beau teint, et tout aurait été plus gai !

Dix mois plus tard, on ne comprend toujours pas comment il se fait que tant de personnes ont choisi de vivre dans la grisaille.

3 commentaires:

À 27 mars 2008 à 16:55 , Blogger Daniel a dit...

Toujours très inspiré, Gérard !

J'ai cherché, cherché, je n'ai pas trouvé grand chose. Je me lance :

Il y aura d'autres victoires (zut, voilà que je parle comme Bayrou !), et les faiseurs de pluie sentiront bien un jour le vent du boulet !
BOF !

Après ça, dodo ...

 
À 27 mars 2008 à 23:50 , Blogger La Chaloupe a dit...

"Dix mois plus tard, on ne comprend toujours pas comment il se fait que tant de personnes ont choisi de vivre dans la grisaille."

Gérard,

C'est "le miroir aux alouettes" qui a renvoyé un faux rayon de soleil.
Ce n'était qu'un flash "bling-bling".

Seuls 17 millions d' électeurs l'ont détecté...

Pour 2012... Lunettes de décryptage obligatoire pour toutes et tous !

 
À 28 mars 2008 à 07:35 , Blogger 1OO pensées pour VOUS ! a dit...

@ Daniel et La Chaloupe,

"Des faiseurs de pluie qui hantent un miroir aux alouettes"

Voilà un beau "coup d'envoi" pour un poème surréaliste !

 

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