dimanche 7 octobre 2007

LES PLUS GRANDS ECONOMISTES APPLAUDISSENT SEGOLENE !





Vous ne connaissez sans doute pas le grand homme dont la photo en noir et blanc illustre ce billet. Il s'agit du plus grand économiste du 20ème siècle, John Maynard Keynes. Né au 19ème, comme Baudelaire ou Nerval et décédé en 1946. (NB : quand je parle du 19ème, c'est du siècle, et pas de l'arrondissement !) Je l'ai découvert, ainsi que la photo que j'ai pîqué sans vergogne, sur le blog de la formidable Aurore dont je parle depuis quelque temps. J'espère qu'Aurore me pardonnera ce "pillage" de ses archives...

Pour mesurer l'importance de Keynes : voir le blog d'Aurore, en tapant "Aurore1366" dans la fenêtre centrale de Google.

J'ai un peu à ajouter :
-1) Les théories de Keynes sont tellement proches du "donnant-donnant" de Ségolène qu'on se demande, avec incompréhension et désespérance, comment 53 % de l'électorat a sciemment (ou inconsciemment ?) voulu rater cette si belle opportunité ;

-2) "Le chômage est un dérèglement du capitalisme", a écrit Keynes...

Merci à Aurore pour cette découverte.

Note pour Daniel : t'inquiètes pas, j'oublie pas Michèle, ni Delphine...Mais on a encore le temps avant la campagne ! Et Aurore, comme tant d'autres, fait si bien l'avant-garde que nous pouvons garder quelques éléments imparables "dans nos manches" pour le printemps.
Avec nos valeurs et notre enthousiasme, je me demande ce qu'il pourrait rester en face !

13 commentaires:

À 9 octobre 2007 à 13:31 , Blogger freewheelin a dit...

L'économie… beaucoup (les pires comme les meilleurs) se réclament de Keynes.
J'ai la faiblesse de penser que l'économie c'est comme la voyance, ça repose sur du vent, une "science" pour les gogos ;-)

 
À 9 octobre 2007 à 14:03 , Blogger 1OO pensées pour VOUS ! a dit...

T'as pas tort, chère Amie...

Mais l'économie est une réalité avec laquelle il est vital de composer.

Donc...je suis toujours en campagne ! Pour un mieux-être...

Et, avec notre "démocratie participative" et nos volontés d'aller de l'avant, nous allons peut-être arriver à des résultats exceptionnels.

Je sais, nous avons déjà perdu cinq ans...Mais c'est pas seulement de ma faute !

 
À 10 octobre 2007 à 04:22 , Blogger aurore1366 a dit...

"freewheelin" je pense que l'economie n'est pas une science exacte mais il existe tout de meme des regles, des lois (ex: loi d'engel...)
Il existe des élements qu'on peut prevoir parce qu'il ce sont repeter dans le tps d'autres qu'on peut anticiper
Aprés il est évident que le jour ou on associera éfficacité éco et justice sociale notre pays ira beaucoup mieux
Beaucoup se reclament de Keynes (il doit se retourner dans sa tombe parfois! comme Jaures et Blum quand sarko utilse leur nom pour défendre des valeurs qui etaient loin d'etre les leurs) c'est vrai mais tous les pays se disent démocratiques c'est pas pour ça qu'il le sont et loin de là!

 
À 10 octobre 2007 à 04:41 , Blogger aurore1366 a dit...

j'ai oublié de dire: je ne crois pas à la fatalité si nous sommes dans cette situation (économiquement) c'est parce que certains ont commis des erreurs, d'autres n'auraient peut etre pas fait mieux, mais je crois qu'au bout d'un moment il faut assumer ses responsabilités et arreter de rejetter la faute sur les autres et se passer le bébé!

 
À 10 octobre 2007 à 04:44 , Blogger aurore1366 a dit...

Aprés tout est relatif certains sont beaucoup plus a plaindre que nous c'est sur a ce niveau là

 
À 10 octobre 2007 à 05:14 , Blogger 1OO pensées pour VOUS ! a dit...

@ Aurore

J'admire l'enthousiasme de ta jeunesse et ta volonté de te documenter sur tous les sujets, sans oublier ta faculté d'argumenter et de convaincre !

Essaie de garder ce rythme quelques mois, et les élections du printemps sont gagnées!

Et, municipales, puis cantonales et plus tard régionales ont également une grande importance.

C'est ce que j'écrivais il y a dix minutes sur le blog de Michèle Delaunay, députée bordelaise aujourd'hui en mission humanitaire au Burkina-Faso.

Voici mon commentaire, démontrant l'importance des prochaines échéances :

Bonjour Michèle,

Je te souhaite de réussir tout ce qui est possible dans ta mission humanitaire au Burkina, un des pays les plus pauvres de l'Afrique, mais qui a commencé à se redresser un peu depuis quelques années, grâce à une ébauche de co-développement menée uniquement à ma connaissance par de petites ASBL locales. Un seul exemple : grâce aux arbres qui ont été plantés, par les Burkinabés et les associations humanitaires du Nord, le processus de désertification a été enrayé.

Dans le même billet, tu nous parles de l'examen à l'Assemblée du deficit de la Sécu.

Je vais fort schématiser : pour l'assurance maladie, on vit plus vieux, donc on risque pendant plus longtemps d' avoir besoin de soins médicaux. Pour les retraites, on vit plus vieux, donc on "profite" pendant plus longtemps de sa retraite. Donc : il faudrait cotiser pendant plus longtemps !

Mais un secteur comme la Sécu ne peut pas être traité comme une "denrée économique", il faudrait idéalement, que l'économie soit au service de l'humanisme !

Oui, les gens ont le droit d' avoir accès aux soins de santé. Oui, les gens ont le droit de jouir d'une retraite décente.

Ce qu'on voit aujourd'hui (paquet fiscal,...), c'est que le régime sarkozyste est en train de "prendre aux pauvres pour donner aux riches".
Ce qu'on peut voir demain, à condition que la Gauche gagne municipales, cantonales, puis régionales, c'est une relance de l'emploi et de la croissance, qui vont grâce à des cotisations nouvelles (nouveaux emplois) relancer peu à peu la Sécu.
Exemple lapidaire : si on procure un emploi à un chômeur, il va"rapporter" à la collectivité ses cotisations sociales et ses impôts. Sinon, il "coûte". Ceci dit sans vouloir offenser les personnes confrontées au spectre du chômage : ce n'est pas de leur faute si l'économie mondiale qui étouffe les valeurs humanistes a facilité les délocalisations, et même les délocalisations frauduleuses !

Il faut donc créer de nouveaux emplois, non délocalisables. Le pacte présidentiel de Ségolène présentait des pistes très sérieuses sur ce sujet.
Je rappelle ce point aujourd'hui parce que les municipalités et régions peuvent créer des emplois, et peuvent aussi favoriser l'implantation de nouvelles entreprises. En se basant notamment sur les ressources et spécificités régionales, qaui permettrontla perrennité de l'activité.

"S'appuyer sur les régions pour faire marcher la France", avait dit Ségolène. Et si on le faisait malgré Sarkozy ?

Un dernier détail : s'il y avait moins de gaspillages honteux, il resterait mathématiquement plus d'argent dans les caisses de l'Etat. Je pense ici au scandale EADS, dont on aura l'occasion de reparler !

A bientôt

GE

 
À 10 octobre 2007 à 08:49 , Blogger freewheelin a dit...

2) "Le chômage est un dérèglement du capitalisme"


le capitalisme a absolument besoin du chômage pour fonctionner. Sans chômage pas d'êtres humains taillables et corvéables à merci, pas moyen de faire baisser le coût du travail, pas moyen de briser une grève.

Le chômage nourrit le capitalisme

Aurore en économie il n'y a pas de lois, seulement des perspectives, des prévisions jamais avérées. les économistes ont en commun avec les voyants qu'ils se trompent toujours ;-)

 
À 10 octobre 2007 à 08:51 , Blogger freewheelin a dit...

Les marchés financiers sont-ils rationnels ?

http://charlatans.info/marches-irrationnels.php

 
À 10 octobre 2007 à 08:55 , Blogger freewheelin a dit...

une expérience amusante ;-)

La bourse ou le hasard ?

En mars 2001, la société Barclays Stockbrockers, une équipe de chercheurs britanniques appartenant à la "British Association's National Science" aidés par un psychologue de l'université de Hertfordshire, Richard Wiseman, ont imaginé et mis sur pied une expérience, certes de courte durée, une semaine du 15 au 22 mars, mais tout de même révélatrice quant au rôle du hasard en bourse et dans les performances des produits financiers vendus au grand public via les réseaux bancaires et autres sociétés de bourse.

A l'identique que la célèbre expérience du singe mené par le Wall Street Journal avec un chimpanzé choisissant ses actions en lançant ses fléchettes sur des étiquettes représentant ces actions qui célébra au final la victoire du singe face aux "excellents" traders de Wall Street, un portefeuille d'une valeur fictive de 5.000£ (environ 7600 €uros) fut constitué par trois "investisseurs" : une fillette de 4 ans, Tia Laverne Roberts ,un financier, Mark Goodson, 39 ans et une astrologue, Christeen Skinner. Si le choix de la fillette ne s'explique que par l'action de son bras libre de tout mouvement plongeant dans le chapeau, celui de l'astrologue fut évidemment guidé par la position des planètes et celui du financier par ses connaissances approfondies des marchés financiers sans doute sanctionnés par de hautes études.

Au terme d'une semaine boursière chaotique, le Footsie (l'indice phare de la bourse de Londres) s'étant effondré durant cette période, le vainqueur fut finalement celui qui réalisa le moins de pertes, c'est-à-dire Tia, 4 ans, réalisant une performance de -4,5% sur son investissement de départ, moins pire que celui de ses concurrents : -7% pour le broker et (tant pis pour les astres) -10% pour l'astrologue. L'analyste financier Mark Goodson de s'exclamer à la fin de l'épreuve qu'il était sûr que la fillette allait gagner (sic) et l'astrologue de se plaindre de ce qu'elle fut "perturbée par la chute des marchés", chute qui pourtant aurait dû être prévue par la voyante et intégrée dans l'attitude à prendre et dans ses choix.

Ainsi, le hasard est bon conseiller, notamment devant le comportement moutonnier des différents acteurs des marchés financiers. Ce qui est bon à savoir lorsque des spécialistes, banques ou sociétés financières vantent les mérites de leurs placements au regard de leurs performances via SICAV et autres FCP. S'attribuer le mérite du hasard est toujours hasardeux ! Les probabilités, domaine très mal compris voire inconnu des profanes, réservent énormément de surprises et font souvent que des charlatans parviennent à tromper leurs victimes non rompues au monde des chiffres. Ainsi, quelle est la probabilité pour que, lors d'un repas de famille rassemblant 23 personnes, deux au moins aient la même date d'anniversaire (jour et mois) ? Vous vous direz que si ça vous arrivait ce serait "exceptionnel" ou bien "un signe", eh bien cette probabilité est de 50% ! Et pour 60 personnes celle-ci s'élève à plus de 99% !

Depuis 1988, le vénérable Wall Street Journal tient un concours inspiré par la thèse défendue par le professeur Burton Malkiel. Auteur du livre A Random Walk Down Wall Street, ce dernier soutient qu'il est impossible de prévoir les mouvements à court terme de la bourse en général ou d'un titre en particulier. Tout ce qu'on sait, dit-il, c'est qu'à très long terme, 10 ou 20 ans, la bourse a de fortes probabilités de monter. Les éditeurs du Wall Street Journal ont donc organisé leur concours de la façon suivante : chaque mois, quatre investisseurs professionnels sont invités à se choisir chacun un titre dont le rendement sera calculé sur six mois et comparé aux rendements de quatre titres sélectionnés par un lancement de fléchettes sur les pages des cotes boursières du journal. En 1998, on avait droit à un premier bilan de 10 années de "dartboard contest". Résultat : les professionnels ont gagné 61 des 100 premiers concours (61%).

Est-ce à dire que la théorie du hasard ne tient pas la route ? Pas du tout, répondent en cœur plusieurs équipes universitaires qui ont observé certaines anomalies dans la compétition. Ainsi, les titres choisis par les pros jouissent d'un effet publicitaire non négligeable puisqu'ils grimpent fortement dès le premier jour où ils sont publiés par le journal. Autre anomalie : les éditeurs du Wall Street Journal ne calculent pas le gain en dividende des actions, mais seulement le gain en capital, or, les titres choisis au hasard ont un rendement en dividende moyen de 2,3 %, contre 1,2 % pour ceux des experts. Une différence très appréciable quand on en mesure le rendement composé.

Si le hasard ne vous satisfait pas complètement, rabattez-vous alors sur les rumeurs car comme l'a rapporté Reuters :

ZURICH, 30 juin (Reuters) - Près d'un courtier sur cinq se moque de savoir si une rumeur qui circule sur les marchés se révélera fondée, et les rumeurs continuent, selon eux, à pouvoir rapporter beaucoup d'argent à leurs auteurs, à en croire une étude rendue publique lundi. Une enquête menée par l'Université de Zurich auprès de 140 professionnels des marchés financiers affirme que 70% d'entre eux pensent que le responsable d'une rumeur peut, au moins potentiellement, en bénéficier. Plus de 40% des personnes interrogées estiment que les rumeurs ne naissent que parce qu'elles peuvent rapporter de l'argent.

Les courtiers expliquent qu'ils jugent de la façon de répondre à une rumeur par la courbe du cours des actions. Quelque 70% des sondés disent qu'ils envisageraient toujours une transaction même après la réaction du marché, ce que l'auteur qualifie de pratique suiviste.

"Ce que je pense ne compte pas. Ce qui compte, c'est ce que le marché pense", a déclaré un courtier cité par l'étude. "Pour cette raison, je me fiche de savoir si une rumeur est vraie".

"SI VOUS N'ETES PAS PREMIER, VOUS ETES PERDANT"

Quelque 70% des personnes interrogées disent qu'une rumeur peut se propager en quelques minutes. Et plus de la moitié des sondés, parmi lesquels figurent également des commerciaux, disent qu'ils répandraient également la rumeur s'ils la trouvaient importante.

Environ 28% des courtiers disent être "parmi les premiers" à entendre une rumeur, alors que 11% des courtiers -et 24% des non-courtiers interrogés- disent être généralement parmi les derniers à entendre les rumeurs.

"En tant que courtier, si vous n'êtes pas dans les premiers, vous êtes un perdant", explique un courtier cité dans l'étude.

Les appels téléphoniques, les confidences de vive voix et les médias en général sont selon l'enquête les meilleurs vecteurs de propagation de la rumeur. En moyenne, les courtiers disent recevoir des rumeurs présentant un intérêt pour leur activité "quelques fois par semaine".

Selon la définition de l'étude, une rumeur est quelque chose qui n'est ni confirmé ni démenti, par opposition à une information. Les nouvelles seraient une combinaison des deux.

L'intelligence zéro des courtiers
(Agence Science-Presse, 6 Oct. 2003)
" Ceux qui jouent à la bourse auraient tout intérêt à se méfier de leurs courtiers. Leur soi-disant connaissance du marché semble avoir autant d'influence que... le hasard. Autrement dit: achetez des actions en vous fiant au seul hasard, et vous aurez autant de succès que ces courtiers! C'est du moins ce que conclut le modèle théorique créé par J. Doyne Farmer et ses collègues de l'Institut Santa Fe (Nouveau-Mexique). Dans leur article auquel ils ont donné le titre: Le pouvoir prévisionnel de l'intelligence zéro sur les marchés financiers. Intelligence zéro. Dur, dur... Le comportement des courtiers, raisonnent ces chercheurs, se compare à celui des fourmis qui se promèneraient au hasard à l'intérieur d'une grande horloge, affectant à peine le fonctionnement de celle-ci. La vente et l'achat d'actions peut se faire de la façon la plus rationnelle possible, ou en tirant à pile ou face: vu de l'extérieur, on ne sent pas de différence entre l'une ou l'autre de ces méthodes. "

Bref, avant de regarder les performances passées, qui ne préfigurent en rien celles à venir, regardez d'abord les frais et conditions appliqués à chaque type de placement, cela permettra déjà de grignoter quelques "pour cents" dans les rapports finaux qui de toutes façons restent pour la plupart identiques (dans un marché donné) quelque soit l'intermédiaire choisi ou encore, réservez le meilleur accueil (de votre butin) à la conseillère la plus mignonne ou au conseiller financier le plus gentil. C'est toujours ça de pris.

Souvenez-vous : le placement "miracle" reste celui réservé aux Charlatans

 
À 10 octobre 2007 à 09:00 , Blogger 1OO pensées pour VOUS ! a dit...

@ Freewheelin

Tu démontres, et avec une pertinence implacable que l'admire, pourquoi "le chômage est un dérèglement du capitalisme".

Donc : d'accord, il y a beaucoup d'économistes qui causent pour causer, mais avec cette citation, Keynes avait raison.

Donc, bravo à Aurore de nous l'avoir rappelé. Et bravo à toi pour ta perspicacité et la valeur de tes démonstrations.

Bizzz

GE

 
À 10 octobre 2007 à 13:28 , Blogger 1OO pensées pour VOUS ! a dit...

@ Freewheelin

Mon commentaire précédent avait été émis en même temps que le tien au sujet de hasards de la bourse, ce qui fait qu'en se croisant dans les espaces cybernautiques, nous ne sommes pas compris tout de suite... Il y avait bien, il y a quelque temps, la télépathie...Mais quand on est fatigué, çà marche moins bien...

Ce petit billet pour te dire que ta démonstrations au-sujet de la bourse (et on a de la matière depuis les "emprunts russes de je ne sais plus quelle année, depuis aussi le krash des années 30, depuis les autres krashs si souvent provoqués, voyons "seulement EADS !), est un modèle de réalisme.

J'ai l'impression que, toute seule et avec tes arguments imparables, tu pourrais démolir le désordre économique mondial qui nous étouffe depuis trop longtemps...

Je rêve un peu ? Peut-être pas !

On verra...bientôt. J'espère dès le printemps prochain...

Bizzz et à bientôt
Et merci pour ton retour actif sur ce blog qui se paralysait de ton absence momentanée...

GE

 
À 10 octobre 2007 à 13:42 , Blogger freewheelin a dit...

Gérard, la démonstration sur la bourse n'est pas de moi. Cette expérience je l'ai prise à cette adresse :

http://charlatans.info/bourse.shtml

un excellent site sur bien des sujets.

Bonne soirée

 
À 10 octobre 2007 à 14:09 , Blogger 1OO pensées pour VOUS ! a dit...

@ Freewheelin,

Même si la démonstration n'est pa s tout à fait de toi (et j'aurais dû m'en rendre compte en ouvraznt le lien que tu avais cité un peu avant), tu as eu le mérite de nous rappeler cette analyse...

Je maintiens donc mes félicitations et mon admiration devant ta capacité à tout décrypter...

Bizzz

GE

 

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