samedi 24 février 2007

DIMANCHE 25 FEVRIER, J - 57


SEGOLENE PENSE A NOUS...




...et moi, je pense à faire faire mon boulot par une équipe formidable !




Après les pensées de Coralie, puis de l'éditorialiste Jacques Julliard, hier de Laurent,...,


je me contente aujourd'hui de vous livrer trois messages de Sophie, dont les pensées méritent bien en illustration une belle orchidée...





Elle nous a trouvé dans Le Monde une pensée de notre ami, le Dr Elie Arié, pui!s elle a écrit un très beau texte pour le petit Lucien, né ce matin, et enfin elle a même déniché un article de presse dénonçant le danger des CNE que Ségolène, justement, veut supprimer !


Avec des correspondantes aussi efficaces, si je me présentais, je serais élu au premier tour !

(Je dis çà pour blaguer, hein ! C'est quand même pas moi qui irais pîquer des voix à Ségolène !)











(Sophie a retrouvé ce message d' Elie Arié dans "Le Monde")










"Il est acquis une fois pour toutes, note le docteur Elie Arié (Paris), que Ségolène Royal, étant une femme, est forcément incompétente : Nicolas Sarkozy peut, dans la seule émission sur TF1 du 5 février, parler de la moitié des salariés français qui gagnent le smic (le chiffre est de 17 %), du baril de pétrole à 90 dollars (il n'a jamais dépassé 78 dollars), de l'inflation qui était autrefois à 24 % en France (elle n'a jamais dépassé les 14 %), ce n'est pas lui qu'on traitera (d'incapable)."





(Maintenant, Sophie nous parle du petit-fils de notre amie Marie, né ce matin. Marie ne voudrait pas que Lucien grandisse sous NS 1er...Moi non plus !)





Pour un petit Lucien, né ce matin.

Comme à Paris ou à Villepinte, nous sommes plusieurs milliers (à Rouen). De tous âges.
Portés par un espoir immense. Avec au fond de nous, à la fois une volonté ferme et une sorte d'incrédulité : comme si une France plus juste relevait d'un impossible rêve. En face, les moyens sont immenses.

Faire de ce rêve notre réalité de demain, dépend de nous. Le pacte présidentiel, solidement ancré dans la réalité de nos vies, expliquons-le, faisons-le vivre autour de nous, inlassablement.
Une "ardente obligation" doit nous mettre en mouvement.

Soyons les petits soldats de Ségolène, obstinés, têtus, arc-boutés sur notre faim d'une France plus juste et qui se relève.






(Et maintenant, cette formidable Sophie nous transmet un article de presse qui souligne le danger des CNE, que Ségolène veut supprimer)

La moitié des CNE sont rompus au bout de douze mois
Parmi les salariés embauchés en contrat nouvelles embauches (CNE) au mois d'octobre 2005, 70% travaillaient encore dans la même entreprise au bout de six mois et 50% au bout de douze mois, selon une étude de la Dares.
Comment les entreprises utilisent-elles le Contrat Nouvelles Embauches? Pourquoi y ont-elles recours? La Dares (service statistique du ministère de l'Emploi) et l'Acoss (agence centrale des organismes de Sécurité sociale) publient aujourd'hui une deuxième enquête sur le sujet. Ses résultats démontrent une nouvelle fois la précarité du CNE, confirmant les données de la première enquête publiée en juin 2006. Elle pointe par ailleurs l'effet incertain du CNE sur l'emploi. 70% des entreprises déclarent que, sans CNE, elles auraient de toutes façons embauché à la même date, sous une autre forme de contrat. Dans 44% des cas, cette embauche aurait eu lieu en CDI, dans 56% des cas en CDD ou intérim. 20% des entreprises déclarent néanmoins avoir anticipé l'embauche grâce au CNE. Le CNE a été mis en place en août 2005 pour les entreprises et associations comptant au plus 20 salariés. Pendant une période de deux ans, dite période de consolidation, le contrat peut être rompu plus facilement. De fait, parmi les salariés embauchés en CNE en octobre 2005, 70% travaillaient encore dans la même entreprise au bout de six mois, et seulement 50% au bout de douze mois. Le taux de maintien à six mois des CNE est encore plus faible pour les embauches réalisées en mai 2006 (60%). Pourquoi ont-ils quitté l'entreprise? 24% des salariés recrutés en CNE en mai 2006 ont démissionné, ce qui représente la moitié des ruptures de contrat. 12% ont été licenciés, soit un quart des ruptures de contrat. Les entreprises de moins de cinq salariés sont les plus nombreuses à recourir au CNE. Les embauches de mai 2006 ont par ailleurs été réalisées dans les entreprises "dont l'activité est en croissance et difficilement prévisible d'un trimestre à l'autre", explique la Dares. De fait, les trois quarts des chefs d'entreprises déclarent recruter en CNE pour "limiter les risques en cas de ralentissement de l'activité". Mais là n'est pas la principale motivation: ils sont aussi 80% à vouloir "tester les compétences de la personne plus longtemps", et 77% à invoquer "la simplicité administrative à la rupture". Pourtant, 13% des salariés en CNE ont déjà travaillé dans l'entreprise auparavant, en CDD, ou en tant qu'intérimaire ou apprenti.Les salariés en CNE, eux, sont plus souvent des hommes. Ils sont moins diplômés (39% ont un niveau de formation inférieur au CAP ou BEP), travaillent plus souvent à temps complet que les salariés en CDI ou en CDD de plus d'un mois. En terme d'âge et de salaire, ils se retrouvent dans une sorte de situation intermédiaire: 40% des salariés en CNE perçoivent un salaire d'embauche qui ne dépasse pas le Smic, contre 30% de ceux embauchés en CDI et 50% de ceux embauchés en CDD de plus d'un mois.
Stéphanie Tisserond





Ben moi, j'ai rien à ajouter...


Bravo, et merci, Sophie !








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